Chaque séance est un échange énergétique au travers du toucher entre le praticien appelé shiatsuki et son patient ou jusha.
Le Shiatsu se pratique classiquement au sol. Les deux personnes en présence sont habillées d’une tenue souple recouvrant bras et jambes, genre kimono ou jogging. Le « jusha » est confortablement allongé sur un tatami ou un tapis de gymnastique. Le « shiatsuki » se tient à côté de lui, à genoux, accroupi ou « en fente » (c’est-à-dire avec un seul genou à terre). Il pose ses mains fluidement sur le corps du jusha pour se mettre à l’écoute de ses tensions, de ses souffrances, de ses zones de chaleur ou de froid, de ses blocages ou de ses vides d’énergie. Il agit ensuite par des appuis stables et mesurés de ses pouces, de ses doigts ou de ses
paumes, ou même de ses avant-bras, sur les endroits à calmer ou à solliciter (c’est plus un transfert d’équilibre contrôlé que l’exercice d’une force musculaire).
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Le Shiatsu se pratique classiquement au sol. Les deux personnes en présence sont habillées d’une tenue souple recouvrant bras et jambes, genre kimono ou jogging. Le « jusha » est confortablement allongé sur un tatami ou un tapis de gymnastique. Le « shiatsuki » se tient à côté de lui, à genoux, accroupi ou « en fente » (c’est-à-dire avec un seul genou à terre). Il pose ses mains fluidement sur le corps du jusha pour se mettre à l’écoute de ses tensions, de ses souffrances, de ses zones de chaleur ou de froid, de ses blocages ou de ses vides d’énergie. Il agit ensuite par des appuis stables et mesurés de ses pouces, de ses doigts ou de ses paumes, ou même de ses avant-bras, sur les endroits à calmer ou à solliciter (c’est plus un transfert d’équilibre contrôlé que l’exercice d’une force musculaire).
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Le Shiatsu se pratique classiquement au sol. Les deux personnes en présence sont habillées d’une tenue souple recouvrant bras et jambes, genre kimono ou jogging. Le « jusha » est confortablement allongé sur un tatami ou un tapis de gymnastique. Le « shiatsuki » se tient à côté de lui, à genoux, accroupi ou « en fente » (c’est-à-dire avec un seul genou à terre). Il pose ses mains fluidement sur le corps du jusha pour se mettre à l’écoute de ses tensions, de ses souffrances, de ses zones de chaleur ou de froid, de ses blocages ou de ses vides d’énergie. Il agit ensuite par des appuis stables et mesurés de ses pouces, de ses doigts ou de ses
paumes, ou même de ses avant-bras, sur les endroits à calmer ou à solliciter (c’est plus un transfert d’équilibre contrôlé que l’exercice d’une force musculaire).
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Le Shiatsu se pratique classiquement au sol. Les deux personnes en présence sont habillées d’une tenue souple recouvrant bras et jambes, genre kimono ou jogging. Le « jusha » est confortablement allongé sur un tatami ou un tapis de gymnastique. Le « shiatsuki » se tient à côté de lui, à genoux, accroupi ou « en fente » (c’est-à-dire avec un seul genou à terre). Il pose ses mains fluidement sur le corps du jusha pour se mettre à l’écoute de ses tensions, de ses souffrances, de ses zones de chaleur ou de froid, de ses blocages ou de ses vides d’énergie. Il agit ensuite par des appuis stables et mesurés de ses pouces, de ses doigts ou de ses paumes, ou même de ses avant-bras, sur les endroits à calmer ou à solliciter (c’est plus un transfert d’équilibre contrôlé que l’exercice d’une force musculaire).